Qui êtes-vous ?

Toulouse.
Auteur : Serge BOYER. Professeur agrégé d'histoire-géographie. Au lycée Ozenne dep 2002, j'ai eu des activités de formation à l'IUFM et participé à des manuels et rédigé des articles dans la revue "Espace Prépas". Enseigne en CPGE depuis 2009. Auteur principal du nouveau manuel "réussir sa prépa" sorti en 2017 chez Studyrama et réactualisé pour le nouveau programme (sortie juin 2021). Jurys : CAPES, ECRICOME, TBS, GEM. Chargé de cours à TSE sur l'histoire des faits économiques et de TD de géopolitique à l'Université Jean Jaurès. Mail : sergeboyer@netcourrier.com

vendredi 29 octobre 2021

 Désormais, vous pouvez basculer  vers le nouveau site Ozennegeopolitique.fr qui rassemble les 2 niveaux de prépas avec : 

- un site plus interactif et épuré

- désormais 20 rubriques principales (annales, méthode, devoirs, khôlles, fonds de carte, 1ère année et 2ème année)

 dont le corrigé du DS1 (dans menu principal, onglet "DEVOIRS")

nouveauté : thèmes transversaux, synthèse...

-toujours tous les sujets HGG des concours HEC depuis 2000

-une écoute facilitée de podcasts et émissions tels le "Dessous des cartes".

ozennegeopolitique - ACCUEIL

mercredi 13 octobre 2021

Mandchoukouo, un Etat de facto

 

Le Mandchoukou est une partie septentrionale de la Chine occupée par le Japon à partir du début des années 1930. Le "Grand Etat manchou" est fondé le 18 février 1832 avec à sa tête Puyi, empereur chinois déchu en 1911. En réalité, ce pays est un protectorat japonais, aux mains de l'armée japonaise.



PUYI
En 1942, seuls les pays et régions sous autorité japonaise ou les alliés reconnaissant le Manchoukouo. S'ajoute le cas de l'URSS, pays en guerre avec l'Allemagne, alliée du Japon ; il s'agit là d'un autre exemple de "realpolitik" de Staline qui parie peut-être sur une victoire de l'Axe lors du conflit mondial ?
source : Wikipédia



SOURCE 




samedi 2 octobre 2021

SDN

 

TR 9 La Société des Nations

UN TEXTE FONDATEUR : LES 14 POINTS DE WILSON

8 janvier 1918

Les Quatorze Points de Wilson

Devant le Sénat américain, le 8 janvier 1918, le président Thomas Woodrow Wilson reprend et développe un discours prononcé un an plus tôt, le 22 janvier 1917, devant la même assemblée.

Dans ce premier discours, le président, représentant de la première puissance économique du monde, alors neutre, avait préconisé a peace without victory  (« une paix sans victoire »), au grand scandale des uns et des autres. Ainsi n'avait-il pas envisagé la restitution de l'Alsace-Lorraine à la France.

Mais les États-Unis avaient été ensuite contraints de s'engager dans le conflit, au côté de l'Entente franco-britannique. Il fallait dès lors penser à une paix victorieuse mais dans le respect du droit. C'est tout l'objet de ce nouveau discours.



1.       Naissance en 1919, le président américain WILSON  fait adopter son projet de S.D.N., qu’il a présenté en 1918 dans ses Quatorze points. Le « pacte » qui la constitue est incorporé dans chacun des traités de paix qui achèvent la Première Guerre mondiale. La S.D.N. naît officiellement lors de l’entrée en vigueur du traité de Versailles (signe le 28 juin 1919, mais appliqué en janvier 1920) ; son siège est à Genève. Aux 32 membres fondateurs (vainqueurs de la Grande guerre) s’ajoutent 13 Etats neutres, soit un total de 45 Etats. Tout autre pays peut faire partie de l’organisation s’il est admis par l’Assemblée générale à la majorité des 2/3. Les vaincus en sont exclus au départ, de manière provisoire.

U

2.       Objectifs : il s’agit de garantir la paix ; si un différend grave oppose deux Etats membres, elle est chargée d’aider à le résoudre en proposant son arbitrage ; en cas d’agression contre un Etat membre, elle peut user de sanctions morales ou économiques contre l’agresseur. Enfin, elle doit s’efforcer d’obtenir une réduction des armements. La S.D.N. doit par ailleurs administrer les territoires internationaux sous mandats coloniaux (ex : la Palestine, ancien territoire de l’Empire ottoman, est gérée par la G.B. au nom de la S.D.N.).

3.       L’organisation  :  la S.D.N. se compose de 3 organismes principaux : voir schéma




-          L’ASSEMBLEE GENERALE : se réunit une fois par an à Genève ; chaque Etat membre y dispose d’une voix

-          Le CONSEIL : composé de 5 membres permanents (réduits à 4 par l’absence étatsunienne) ; ce sont : GB, France, Italie, Japon)  et de 4 membres provisoires choisis par l’Assemblée générale. L’Allemagne intègre la S.D.N. en 1926 et devient membre permanent du Conseil ; mais, en 1933, Hitler retire son pays de la S.D.N., qui est alors remplacé par l’U.R.S.S. de Staline (jusqu’alors exclue). Le nombre de membres provisoires passe de 6 en 1922 à 11 en 1933. C’est le Conseil qui doit, en cas de conflit, décider qui est l’agresseur et préconiser d’éventuelles sanctions.

-          Le SECRETARIAT GENERAL : dirigé par un Secrétaire général permanent, prépare les documents et les rapports pour l’Assemblée et le Conseil. Le premier SG est le Britannique Sir Eric DRUMMOND, puis à partir de 1933 le Français Joseph AVENOL

-          La COUR PERMANENTE DE JUSTICE INTERNATIONALE : siège à la Haye (Pays-Bas) ; elle joue le rôle d’arbitrage dans les conflits.

-          S’ajoutent de multiples organisations spécialisées, chargées d’étendre la coopération internationale aux questions sociales (Bureau International du Travail), financières (Banque des Règlements internationaux)…

4.       Les faiblesses de la S.D.N. :  -absence des Etats-Unis et des vaincus (au départ)

                               -recommandations de l’Assemblée non suivis d’effets par les Etats

                               -unanimité impossible à atteindre à l’Assemblée comme au Conseil

                               -absence de force militaire (refus britannique)

-hégémonie franco-britannique

5. Le projet BENES  en 1924 : le dirigeant tchécoslovaque Edouard BENES propose de réformer la S.D.N. : prise de sanctions à la majorité des 2/3 et non plus à l’unanimité, création d’une armée internationale… Mais ce projet reste lettre morte. Dès 1923, le Français Jean MONNET, vice-secrétaire général, avait démissionné.

6. L’échec final : les agressions militaires japonaises, italiennes et allemandes mettent un terme définitif aux espoirs d’efficacité de la S.D.N : invasion de la Mandchourie par la Japon en 1931, attaque de l’Italie contre l’Ethiopie en 1936 (pays membre de la S.D.N.), « coups de forces » de l’Allemagne de HITLER à partir de 1935 ; à partir de 1936, la guerre civile d’Espagne marque déjà un avant-goût de la marche vers la SGM. Franco démissionne de la SDN. Quinze Etats ont déjà quitté la SDN : en Amérique, beaucoup d’Etats suivent la politique extérieure étatsunienne ; en Europe, les régimes totalitaires (comme l’Allemagne en 1933) et en Asie le Japon qui quitte la SDN en 1931, après l’incident de Moudken (attentat contre une voie ferrée le 18 septembre 1931 ; voir doc ci-contre et cartes DD23). Enfin, l’invasion de la Finlande en 1939 provoque l’exclusion de l’URSS, mais le monde s’embrase déjà dans un conflit mondial.

Source : Anne Carol, Jean Garrigues et Martin Ivernet, Dictionnaire d’histoire du XXe siècle, Hatier, 1993.

vendredi 1 octobre 2021

mardi 14 septembre 2021

REPERES ET PROGRAMME DE COLLES

 Bonjour, 

les repères à apprendre pour la première quinzaine de colles sont prêtes ; il vous suffit d'aller sur la partie droite de ce blog et cliquer sur l'onglet "repères".

De même, le programme de révision pour les colles qui débutent, pour l'hgg, mardi prochain, sont mises en ligne : voir onglet "PROGRAMME", à droite du blog.

jeudi 1 juillet 2021

CONSIGNES POUR LA RENTREE

 

ECG 1ère année – option Histoire, géographie et géopolitique du monde contemporain

CONSIGNES/ACHATS/TRAVAIL AVANT LA RENTREE DE SEPTEMBRE 2021

1. Prendre connaissance du programme de première année

 

Module I – Les grandes mutations du monde de 1913 à nos jours

I.1. Panorama géopolitique du monde de 1913 à la fin de la Guerre froide

I.1.1. Géopolitique et relations internationales : introduction

I.1.2. Tableaux géopolitiques du monde en 1913, 1939 et 1945.

I.1.3. Géopolitique de la Guerre froide, de la décolonisation et des conflits jusqu’aux années 1990.

I.2. Le monde depuis les années 1990 : entre ruptures et recompositions géopolitiques

I.2.1. Tableau géopolitique du monde à la fin de la Guerre froide

I.2.2. Le monde actuel : ordre et désordre, émergences et rééquilibrages, espaces de paix et espaces de guerre.

I.2.3. La gouvernance mondiale : crises et redéfinitions

I.3. L’économie mondiale d’un siècle à l’autre

I.3.1. La croissance et le dévelopement : introduction

I.3.2. Economie, croissance et sociétés dans les pays occidentaux de 1913 à 1945

I.3.3. Les modèles de croissance de 1945 à nos jours

Module II – La mondialisation contemporaine : rapports de force et enjeux

II.1. La mondialisation : acteurs, dynamiques et espaces

II.1.1. La mondialisation : introduction

II.1.2. Les acteurs et les stratégies

II.1.3. Nouvelles frontières, nouveaux territoires et limites de la mondialisation

II.2. Les défis du développement et les enjeux d’un monde durable

II.2.1. les défis géopolitiques et géoéconomiques du développement durable 

II.2.2. Les ressources, un enjeu stratégique

II.2.3. Les défis géopolitiques et géoéconomiques du changement climatique

II.3. La France, une puissance en mutations depuis les années 1990

II.3.1. La France : un modèle entre héritages, crises et transformations face à la mondialisation

II.3.2. La France : une puissance européenne

II.3.3. La France : une puissance mondiale et maritime

 

 

2. Acheter  les outils de travail indispensables (3 au total) = OBLIGATOIRE (disponible sur Studyrama.com en cherchant « Serge Boyer » ou Fnac.com) ; achat pour 2 ans car pas d’achat d’ouvrages en 2ème année.

 

-un MANUEL: S.BOYER, A.CALVET, V.DOUMERC, E.KESLASSY et H.STROUK, Histoire, géographie et géopolitique du monde contemporain, Studyrama, 2021 (29 euros). Ce manuel est un complément constant du cours. Attention, ne pas acheter une édition d’occasion car il s’agit de l’ancien programme.

-un ATLAS : Hugo BILLARD, Mon atlas de prépa, Autrement, 2018. Prix 24 euros 90. Couvre le programme et indispensable pour préparer l’épreuve de croquis majoritaire dans les  concours. Disponible d’occasion.

-un DICTIONNAIRE : Serge BOYER, Dictionnaire des prépas, Studyrama, 2021. Prix 18 euros. Essentiel pour la maîtrise du vocabulaire, clé de la réussite en dissertation. Réédition de 2021 à privilégier car données statistiques réactualisées.

+ achat conseillé (en plus du matériel pour faire un croquis) d’un normographe : le moins cher tout en étant complet est le Maped Technic. 4 euros 49 à Bureau Vallée (ou ailleurs).

 

 

3. Faire une mise à niveau actualisée

 

O Mise à niveau : pour ceux qui pensent avoir des lacunes en histoire, vous pouvez lire le petit atlas du XXème siècle de Marc Nouschi (édité chez Colin et qui peut se trouver d’occasion facilement). Toute lecture d’un ouvrage de synthèse sur l’histoire du 20ème siècle sera utile, même vos manuels de lycée. N’ayant jamais fait d’économie ( le programme intègre beaucoup d’éléments économiques et financiers), pensez à lire par exemple, le mensuel « Alternatives internationales », « le Monde » ou « le Figaro », pages éco ou « les Echos ». Pour la géographie et la géopolitique, vous pouvez aussi lire la revue « Conflits », « Carto », ou bien « Diplomatie ». Consultez-les en presse. Il sera conseillé de s’abonner à une de ces 3 revues au cours de  l’année.

 

O Améliorer votre culture générale en lisant des ouvrages et regardant des émissions :

Sur le monde vers 1900 : tout roman descriptif sur l’âge industriel (Germinal ou l’Argent de Zola) ou la situation politique de la fin du XIXème.

Sur la mondialisation : exemple : ouvrage d’Erik Orsenna, Voyage aux pays du coton, Fayard, 2006. Ouvrage aussi sur l’eau…

DVD/films : sur la finance mondiale comme « Inside Job » ou documentaires de M.Moore.

Arte : chaîne à privilégier pour la qualité de ses documentaires et émissions, en particulier les soirées Thema ou l’émission « le dessous des cartes », diffusée tous les samedis à 19h30 (l’été interrompu, mais nombreuses émissions disponibles sur internet).

O Lire, se tenir au courant de l’actualité : exemples = l’hebdomadaire Courrier International ou le quotidien « Le Monde » (pages géopolitiques le dimanche » ; vous pouvez aussi recevoir gratuitement la newsletter du monde. Il faut lire régulièrement ! Sur France 5, l’émission « C dans l’air », est très intéressante comme « 28 mn » sur Arte (pensez aux replay).

 

 

 

4. Lectures obligatoires/travail de mémorisation pour la rentrée (à faire 15-20 jours avant la rentrée) :

 

- à lire : les trois introductions sur la géopolitique (manuel pages 21-27), l’économie (pages 261-263) ) et la mondialisation (pages 337-342)et le premier chapitre du manuel Studyrama (pages 29 à 68) et début de l’atlas (pages 11 à 20)

- cartes d’histoire à connaître les cartes de l’Europe et du monde en 1914 (lieux clés, colonies, axes de transport, principales capitales…

- en géographie : connaître la localisation de tous les Etats du monde et des lieux importants (détroits, grandes puissances, principales agglomérations du monde, premiers ports et aéroports du monde… ; vous trouverez facilement des sites pour réviser tout en vous amusant.

- des tests seront intégrés dans les colles (oraux) sur les Etats du monde, des dates liés au cours, personnages clés…

 

Attention : ces consignes ne sont pas un vague vœu souhaitable, mais plutôt le socle sur lequel vous bâtirez votre réussite en prépa ! L’horaire important de 7h/semaine, la nouveauté disciplinaire de la géopolitique et la faiblesse de l’horaire de l’HG en Terminale S, sont des éléments qui motivent le sens de ses consignes. Les premières colles (mi-septembre) comporteront sur la localisation des Etats en 1914. Les connaissances demandées seront donc rapidement évaluées.

Dernier point : pour ceux qui n’ont pas suivi la spécialité « géopolitique » en Terminale, la remise à niveau devra particulièrement être bien faite et complète. L’achat d’un atlas plus étoffé et complet comme « L’atlas des relations internationales » de Pascal Boniface ou L’Atlas géopolitique du monde global co-écrits par P.Boniface et H.Védrine peut être intéressant.

 

 

 

 

Blog à l’adresse suivante : www.ozennegeopolitique1. Consignes, compléments et liens utiles.

A noter : pour toute question ou renseignement : contact possible par mail : sergeboyer@netcourrier.com

 

Serge Boyer, professeur d’histoire, géographie et géopolitique au lycée Ozenne en ECG 1ère et 2ème années,

le 16 juin 2021.

lundi 31 mai 2021

ENERGIE : l'éolien marin (source : LeMonde.fr, 31 mai 2021) ; vidéo de qques mn intéressante)

 

Le gouvernement lance le projet de parc éolien flottant au large de Groix et de Belle-Ile-en-Mer

Le débat public lancé en 2020 avait mis au jour les divisions entre pêcheurs, industriels et riverains sur la localisation du futur champ offshore.

Le Monde avec AFP

Publié le 22 mai 2021 à 12h03 

Temps deLecture 2 min.

A Belle-Ile-en-Mer, dans la ville du Palais, le 19 mai 2021.

La décision était très attendue dans le Morbihan, tant c’est un sujet de discorde. Le gouvernement a donné son feu vert au projet d’implantation d’un parc éolien flottant au sud de la Bretagne, au large de Groix et de Belle-Ile-en-Mer, selon une décision parue au Journal officiel, vendredi 21 mai.

« La procédure de mise en concurrence lancée en 2021 pour l’attribution d’un projet éolien en mer flottant d’une puissance d’environ 250 mégawatts, au large du sud de la Bretagne est poursuivie »peut-on lire dans cette décision, signée par Barbara Pompili, ministre de la transition écologique.

Un débat public sur le sujet a permis la distribution du dossier d’information à 110 000 foyers et l’organisation de vingt rencontres, avec près de 1 800 participants, selon la décision signée de la ministre, qui estime que le débat public « a atteint son objectif d’information et de mobilisation de la parole citoyenne ».

Pendant cinq mois, du 20 juillet au 21 décembre 2020, citoyens, associations et usagers ont été appelés à se prononcer sur le premier projet de parc éolien flottant à grande échelle. Le débat public a mis au jour les divisions entre pêcheurs, industriels et riverains sur la localisation du futur champ offshore.

Article réservé à nos abonnés Lire aussi  En Bretagne, l’emplacement d’un projet de parc éolien flottant sème la discorde

Dans ses conclusions publiées en février, la Commission nationale du débat public a ainsi noté que le débat s’était révélé « beaucoup moins consensuel qu’annoncé » par les maîtres d’ouvrage – l’Etat et Réseau de transport d’électricité (RTE) –, témoignant d’« une conflictualité latente ». L’enjeu de l’atteinte aux paysages a notamment provoqué une importante mobilisation. « Les réactions vives et nombreuses du public sur l’impact visuel des parcs, très peu anticipées, ont été une des principales révélations du débat », insiste la commission.

Un second projet de 500 mégawatts

D’après la décision gouvernementale publiée vendredi, la zone retenue est située au sud de l’île de Groix et à l’ouest de Belle-Ile. « La superficie de cette zone de 130 km2 sera progressivement réduite au cours de la procédure de mise en concurrence en tenant compte des résultats des études techniques et environnementales qui vont y être menées par l’Etat et RTE et de la poursuite de la concertation avec les usagers de la mer, en particulier les professionnels de la pêche », selon le même document.

Toujours selon cette décision, le projet répond « au double objectif de réduction des émissions de gaz à effet de serre et de diversification du bouquet électrique français, pour le rendre plus résilient, participant ainsi à la transition énergétique française et à l’atteinte des objectifs de neutralité carbone ».

Par ailleurs, « une seconde procédure de mise en concurrence a vocation à être lancée ultérieurement pour un second projet éolien en mer flottant d’une puissance maximale d’environ 500 mégawatts ».

Article réservé à nos abonnés Lire aussi  Le laborieux démarrage de l’éolien en mer

Le Monde avec AFP

Contribuer